En concevant Cockpit41, Philippe Plantier est devenu créateur de circuits touristiques, imaginés avec « simplicité, authenticité et excellence ». Féru et collectionneur de mécaniques d’exception, il a placé ces modèles qui ont fait l’histoire de l’automobile — Alfa Roméo, Audi, Porsche, Peugeot 403 cabriolet — au cœur de son projet. Cockpit41, c’est une promesse d’échappée, pour poser un œil neuf sur les richesses du Loir-et-Cher au volant de l’une de ces mécaniques vintage, le temps d’une journée, d’un week-end, en famille, en amoureux… Des croisières en arpentant le chemin des écoliers, sans croiser ni feux tricolores, ni zones commerciales, ni panneaux publicitaires, ni même de dos d’âne.
Rien pour rappeler notre présent, « 1 500 kilomètres de routes départementales répondent à ces critères ». La vitesse est dépassée ! Autant faire escale dans l’un des 3 000 châteaux du Val de Loire et y être accueilli par le châtelain ou bien franchir le seuil d’une église du Xe siècle. Faire stop pour admirer, au détour d’un virage, lieux ou panoramas insolites, un verre à la main, avec modération !
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Et si s’évadait sur la route avec Cockpit 41 ?
En concevant Cockpit 41, Philippe Plantier est devenu créateur de circuits touristiques, imaginés avec « simplicité, authenticité et excellence ». Un projet « lancé une semaine seulement avant que ne démarre la crise sanitaire », un mauvais timing a priori, mais qui libère un temps précieux pour peaufiner l’idée. Féru et collectionneur de mécaniques d’exception, celui qui est aussi fondateur et président de l’association organisatrice du « Bouchon », qui se tient tous les ans au printemps à Blois, a fait de son exceptionnelle collection, constituée de modèles qui ont fait l’histoire de l’automobile – Alfa Roméo, Audi, Porsche, Peugeot 403 cabriolet, entre autres – le cœur de son projet. Un projet bâti autour de ses passions, les autos anciennes évidemment, mais aussi la mise en lumière des richesses de notre territoire, naturelles, culturelles et gustatives, qui sont autant d’opportunités de créer de belles rencontres et de tisser des liens.
Une promesse d’échappée
De mars à novembre, (à l’exception du mois d’août), Cockpit 41, c’est donc une promesse d’échappée, pour poser un œil neuf sur le Loir-et-Cher avec élégance à bord de l’une de ces mécaniques vintage, le temps d’une journée, d’un week-end, en famille, en amoureux ou lors d’un séminaire d’entreprise. Des croisières, en quelque sorte, en arpentant le chemin des écoliers, sans croiser ni feu tricolore, ni zones commerciales, ni panneaux publicitaires, ni même de dos d’ânes. Rien qui ne doive perturber l’esthétique du voyage et rappeler notre présent, « 1 500 kilomètres de routes départementales répondent à ces critères ». « Emprunter des chemins secrets au cœur des vignes » et pour ceux qui décideraient de prendre le volant, consentir à ce que la conduite devienne en quelque sorte du pilotage, pour apprivoiser de vieilles dames rares dont la conduite n’est pas toujours assistée !
Ces autos se méritent « les sens en éveil, pour relever des odeurs de moteur insolites et faire face à des techniques de démarrage à chaud ou à froid qui peuvent se révéler parfois contre-intuitives ». Mais qui feront voyager tranquillement, en toute sécurité, dans l’instant présent pour sentir la route.
Un terroir à découvrir…
À noter quand même que la location peut se faire avec chauffeur ! Alors, pilote ou passager, tout est possible, ne reste qu’à faire le choix du terroir à découvrir, la Loire, la Sologne, la vallée du Cher ou plutôt celle du Loir. Faire escale dans l’un des 3 000 châteaux du Val de Loire et y être accueilli par le châtelain ou franchir le seuil d’une église du Xe siècle. Faire stop pour admirer au détour d’un virage lieux ou panoramas insolites, un verre à la main, avec modération ! Une façon de promouvoir les acteurs du bien-manger et du bien-boire, ceux qui ont un savoir-faire, producteurs de mohair, de safran, de vin ou de fromage par exemple, et ceux qui savent recevoir, aubergistes, manoirs hébergeurs.
Et puis, avant de prendre la route, évidemment faire le choix du véhicule : plutôt coupé Alfa Roméo pour se donner une allure de Dolce Vita ou petit plaisir mémoriel et opter pour un modèle survivance des Trente glorieuses, années d’insouciance où « crise » n’est qu’un mot de plus dans le dictionnaire. Une Simca, par exemple, de celle qui aurait pu emmener certains d’entre nous sur la route des vacances. Les seules limites admises sont celles de l’imagination et, bien sûr, celles du budget ! Enfin, embarquer, tourner le contact et passer la première, l’esprit libre, sans rien d’autre à penser que son plaisir, le plein effectué, se laisser griser par le ronronnement des chevaux sous le capot, road book en poche, les déjeuners et les visites organisés, en ayant tête que la vitesse est dépassée ! Invitation au Carpe diem1
Olivier Durand
phplantier@hotmail.fr
Cockpit Vintage Cars & Tourism
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