« Je suis issu d’un milieu assez modeste où on a l’habitude de réparer les choses, de les réutiliser… » D’emblée, Quentin Tavenier avertit : qu’on ne lui reproche pas de surfer sur la vague du surcyclage(1) ; chez lui, c’est une tradition familiale.

« Je suis issu d’un milieu assez modeste où on a l’habitude de réparer les choses, de les réutiliser… » D’emblée, Quentin Tavenier avertit : qu’on ne lui reproche pas de surfer sur la vague du surcyclage(1) ; chez lui, c’est une tradition familiale.
Peut-on se fier aux avis toujours élogieux de ses proches lorsqu’on fait de la musique ? Pas sûr… C’est en partant de cette épineuse question et de la conclusion qui en découle que Stéphane Legret, gérant du magasin Hendrick Music à Blois, a eu l’idée de proposer des répétitions publiques le vendredi soir dans sa mythique boutique de la rue André-Boulle.
Peu rentable et touché par la maladie à la fin du XIXe siècle, le lignage avait disparu des vignes ligériennes – seuls deux pieds étaient conservés à l’Inrae(1) de Montpellier.
Créée par Arnault Krezel, l’enseigne donne le ton avec une devanture raffinée et de jolies roses (en tissu) placées en haut des vitrines.
En 1981, Michel Fourré — alors épaulé par deux associés — crée Sologne Frais, une entreprise spécialisée dans la livraison de viandes et de charcuterie auprès des restaurants et épiceries.
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